Search
Generic filters
Exact matches only
Filter by content type
Users
Attachments

Ausgewählte Fragestellungen zur privilegierten Liquidationsgewinnbesteuerung

Dr. iur. HSG Fabian Mauchle M.A. HSG in Economics, Rechtsanwalt

Henk Fenners Dr. iur., dipl. Steuerexperte


Teil der Ausgabe


Zusammenfassung (d/f)

Gibt eine steuerpflichtige Person ihre selbständige Erwerbstätigkeit nach dem vollendeten 55. Altersjahr oder wegen Unfähigkeit zur Weiterführung infolge Invalidität definitiv auf, kann sie gemäss Art. 37b DBG und Art. 11 Abs. 5 StHG von einer privilegierten Besteuerung des Liquidationsgewinns profitieren. Dieser Beitrag thematisiert nach einer kurzen Darstellung der Funktionsweise und Anspruchsvoraussetzungen folgende vier Fragestellungen: (1) Was ist unter einer «definitiven» Aufgabe der «gesamten» selbständigen Erwerbstätigkeit zu verstehen? (2) Welche stillen Reserven qualifizieren für die privilegierte Besteuerung? (3) Kann eine privilegierte Liquidation anstelle einer steuerneutralen Umstrukturierung beansprucht werden? (4) Wie werden Verlust- und Beitragsüberhänge behandelt?

Eine kritische Würdigung der bestehenden Rechts- und Verwaltungspraxis zeigt, dass nicht in allen Punkten sachgerechte Lösungen bestehen. Insbesondere aus steuersystematischer Sicht ergeben sich gewisse Defizite und Widersprüche. Der Beitrag versucht, Lösungsansätze de lege lata und de lege ferenda zu skizzieren, um die privilegierte Liquidationsgewinnbesteuerung einem kohärenteren System zuzuführen.

Si un contribuable cesse définitivement d’exercer son activité lucrative indépendante après l’âge de 55 ans révolus ou en raison d’une incapacité de poursuivre son activité pour cause d’invalidité, il peut bénéficier d’une imposition privilégiée du bénéfice de liquidation conformément à l’art. 37b LIFD et à l’art. 11 al. 5 LHID. Après une brève présentation du fonctionnement et des conditions d’octroi de cette imposition privilégiée, la présente contribution aborde les quatre questions suivantes: (1) Que faut-il comprendre par cessation «définitive » de «l’entier» de l’activité lucrative indépendante? (2) Quelles sont les réserves latentes qui bénéficient d’une imposition privilégiée? (3) Peut-on prétendre à une liquidation privilégiée au lieu d’une restructuration fiscalement neutre? (4) Comment les excédents de pertes et de cotisations sont-ils traités?

Une évaluation critique de la pratique juridique et administrative actuelle montre qu’il n’existe pas de solutions appropriées sur tous les points. Des déficits et des contradictions apparaissent notamment au regard de la systématique fiscale. L’article tente d’esquisser des solutions de lege lata et de lege ferenda afin de faire évoluer l’imposition privilégiée des bénéfices de liquidation vers un système plus cohérent.