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Konzernbesteuerung und Nachhaltigkeit

15. Februar 2024
Der Beitrag beleuchtet die Verknüpfung von Nachhaltigkeit und Konzernsteuerrecht. Konkret wird untersucht, ob das Konzernsteuerrecht ein effektives Mittel darstellt, um die Sustainable Development Goals (SDGs) zu erreichen. Hierbei wird aufgezeigt, welche Massnahmen im geltenden Recht vorgesehen sind und wo steuerpolitisch Handlungsspielraum besteht. Es werden drei Bereiche unterschieden: die Nachhaltigkeitsberichterstattung, die Ausgestaltung von direkten und die Ausgestaltung von indirekten Steuern. Überdies untersuchen die Autoren, basierend auf der historischen Funktion der Gewinnsteuer, das Ziel der Besteuerung von global tätigen Konzernen unter Berücksichtigung aktueller Entwicklungen wie der globalen Mindeststeuer. Eine Hauptschlussfolgerung des Beitrags ist, dass die Nachhaltigkeitsberichterstattung im Steuerbereich aufgrund der Gefahr des Window Dressings nicht in jedem Fall positive Auswirkungen auf die SDGs hat, hingegen indirekte Steuern unter Umständen durchaus dazu dienen können, eine positive Verhaltenslenkung von Konzernen zu erzielen. L’article met en lumière le lien entre la durabilité et la fiscalité de groupe. Concrètement, il examine si cette dernière constitue un moyen efficace pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD). Il s’agit d’exposer les mesures prévues dans le droit en vigueur et de démontrer où il existe une marge de manoeuvre en matière de politique fiscale. Trois domaines sont distingués: reporting sur la durabilité, l’aménagement des impôts directs et l’aménagement des impôts indirects. En outre, les auteurs examinent, en partant de la fonction historique de l’impôt sur le bénéfice, l’objectif de l’imposition des entreprises multinationales en tenant compte des développements actuels tels que l’impôt minimum global. L’une des principales conclusions de l’article est que le reporting sur la durabilité dans le domaine fiscal n’a pas toujours un impact positif sur les ODD en raison du risque de window dressing, mais que les impôts indirects peuvent, dans certaines circonstances, tout à fait servir à orienter positivement le comportement des groupes de sociétés.
Prof. Dr. Peter Hongler Prof. Dr., dipl. Steuerexperte,
Dr. iur. HSG et lic. oec. HSG Florian Regli dipl. Steuerexperte

Rechtsprechung 2024/1

15. Februar 2024
Stefan Oesterhelt LL.M., Rechtsanwalt, dipl. Steuerexperte
Andrea Opel Prof. Dr. iur.

Überwälzung der Mehrwertsteuer

15. Februar 2024
Die Überwälzung der Mehrwertsteuer stellt ein zentrales Element der indirekt und nach dem Prinzip einer Netto-Allphasensteuer mit Vorsteuerabzugsrecht erhobenen Mehrwertsteuer dar. Nur die Weiterbelastung der beim Leistungserbringer anfallenden Steuer auf den Leistungsempfänger setzt die Belastungskonzeption der Mehrwertsteuer («die Besteuerung des nicht unternehmerischen Endverbrauchs im Inland») um. Überdies stellt die Überwälzung der Mehrwertsteuer eine Voraussetzung für den Vorsteuerabzug dar und ermöglicht damit die Steuerneutralität auf der Ebene des Unternehmens. Trotz dieser zentralen Bedeutung wird die Überwälzung nicht über das Steuerrecht, sondern allein durch das Privatrecht geregelt. Das Zusammenspiel von Steuer- und Privatrecht wirft eine Vielzahl von rechtlichen Fragen auf. Das Ziel des vorliegenden Beitrags ist es, eine Auslegeordnung in diesem Schnittstellenbereich zwischen Steuer- und Privatrecht vorzunehmen und dabei insbesondere der Frage nachzugehen, wie Mehrwertsteuervertragsklauseln in der Praxis auszulegen sind und welche Implikationen sich daraus für deren Redaktion ergeben. La question de la répercussion constitue un élément central de la TVA, qui est prélevée indirectement et selon le principe d’un impôt net à chaque stade du processus de production et de distribution, avec droit à la déduction de l’impôt préalable. Seule la repercussion de l’impôt dû par le prestataire sur le destinataire de la prestation met en oeuvre le principe de la TVA (qui vise «l’imposition de la consommation finale non entrepreneuriale en Suisse»). En outre, la repercussion de la TVA est une condition pour la déduction de l’impôt préalable et permet ainsi la neutralité fiscale au niveau de l’entreprise. Malgré son importance, la question de la répercussion n’est pas réglée par le droit fiscal, mais uniquement par le droit privé. L’interaction entre le droit privé et le droit fiscal soulève une multitude de questions juridiques. L’objectif de la présente contribution est de dresser un état des lieux dans ce domaine à l’intersection entre le droit fiscal et privé et de se pencher en particulier sur la question de savoir comment les clauses contractuelles relatives à la TVA doivent être interprétées dans la pratique et quelles implications en découlent pour leur rédaction.
Tabea Lorenz Prof. Dr. iur. Rechtsanwältin, dipl. Steuerexpertin, M.A. HSG in Law and Economics,
Diego Clavadetscher Rechtsanwalt, Notar, dipl. Steuerexperte

Abschreibungen

15. Februar 2024
Die alterungs- und nutzungsbedingte Wertminderung von Vermögenswerten wird für die handels- und steuerrechtliche Gewinnermittlung mittels Abschreibungen erfasst. Der vorliegende Beitrag befasst sich mit der handels- und steuerrechtlichen Behandlung von Abschreibungen. Zu diesem Zweck werden deren Grundsätze vorgestellt und ausgewählte Sonderthemen kritisch gewürdigt. Die Analyse lässt dabei erkennen, dass die steuerrechtliche Terminologie an die handelsrechtlichen- Begrifflichkeiten angepasst werden sollte. Sodann zeigt sich, dass das Merkblatt A/1995 der ESTV in gewissen Bereichen überarbeitet und das Verbuchungsprinzip, resultierend aus der formellen Massgeblichkeit, teilweise gelockert werden sollte. Auf diese Weise wird das Verhältnis zwischen handels- und steuerrechtlicher Gewinnermittlung in Bezug auf Abschreibungen beleuchtet und Vorschläge zur Verringerung des diesbezüglichen Spannungsfelds unterbreitet. La depreciation d’actifs due à l’obsolescence et à l’utilisation est comptabilisée au moyen d’amortissements pour la détermination du bénéfice en droit commercial et fiscal. Le présent article se penche sur le traitement des amortissements en droit commercial et fiscal. A cet effet, il en présente les principes et examine de manière critique certains thèmes particuliers. L’analyse montre que la terminologie du droit fiscal devrait être adaptée à celle du droit commercial. Il apparaît ensuite que la notice A/1995 de l’AFC devrait être remaniée dans certains domaines et que le principe de comptabilisation devrait être partiellement assoupli au regard du principe formel de l’autorité du bilan commercial. Le rapport entre la détermination du bénéfice selon le droit commercial et le droit fiscal en matière d’amortissements est ainsi mis en lumière et des propositions sont faites pour réduire les tensions à ce sujet.
Dr. oec. HSG Michael Bertschinger Dr. oec. HSG, M.A. HSG in Law and Economics, dipl. Steuerexperte,

Gesetzgebungs-Agenda 2024/1

15. Februar 2024
Henk Fenners Dr. iur., dipl. Steuerexperte
Heinz Baumgartner Lic. iur.
Pascal Duss Lic. iur.

Gesetzgebungs-Agenda 2023/4

15. November 2023
Henk Fenners Dr. iur., dipl. Steuerexperte
Heinz Baumgartner Lic. iur.
Pascal Duss Lic. iur.

Selbstständige, einheitliche und kombinierte Leistungen

15. November 2023
Werden Leistungen im Rahmen eines Bündels gemeinsam erbracht und könnten diese unterschiedlichen Qualifikationen bezüglich der Art und des Ortes der Leistung, des anwendbaren Steuersatzes oder der Anwendung einer Steuerausnahme- oder Steuerbefreiungsbestimmung unterliegen, stellt sich die Frage, wie diese zu behandeln sind – gemeinsam oder einzeln. Diese Entscheidung kann finanziell von grosser Tragweite sein. Je nach Art und Intensität der Beziehung zwischen den Komponenten des Leistungsbündels kann eine einheitliche oder eine gesonderte Behandlung greifen. Werden selbstständige Leistungen erkannt, kann es dennoch zu einer einheitlichen Behandlung kommen, wenn die Leistungen miteinander kombiniert, zu einem Gesamtpreis angeboten und weitere Voraussetzungen erfüllt werden. Mit dieser Thematik befasst sich Art. 19 MWSTG, welcher den Titel «Mehrheit von Leistungen» trägt. Im vorliegenden Beitrag werden die verschiedenen Regelungsinhalte dieser Bestimmung untersucht. Dabei wird versucht, Prinzipien und Aspekte zu erkennen und zu umschreiben, welche die konkrete Einordnung von Leistungsbündeln als einheitliche oder selbstständige Leistungen erlauben. Auch die (Ausnahme-)Regelung zu den kombinierten Leistungen wird näher untersucht und hinterfragt. Lorsque des prestations sont fournies conjointement dans le cadre d’un ensemble et qu’elles pourraient être soumises à des qualifications différentes en ce qui concerne la nature et le lieu de la prestation, le taux applicable, la délimitation des opérations exclues du champ de l’impôt ou concernant l’application des exonérations d’impôt, la question se pose de savoir comment les traiter; comme une unité ou séparément. Cette décision peut avoir une grande portée financière. Selon la nature et l’intensité de la relation entre les composants de l’ensemble dep restations, un traitement uniforme ou séparé peut s’appliquer. Si des prestations indépendantes sont reconnues, il peut néanmoins y avoir un traitement uniforme si les prestations sont combinées entre elles, proposées à un prix global et si d’autres conditions sont remplies. L’art. 19 LTVA, intitule «pluralité de prestations», traite de cette thématique. Le présent article examine les différents contenus de la réglementation de cette disposition. Ce faisant, il tente d’identifier et de décrire les principes et les aspects qui permettent de classer concrètement l’ensemble de prestations comme des prestations uniformes ou indépendantes. La réglementation (exceptionnelle) relative aux prestations combinées est également examinée de plus près et questionnée.  
Ivo P. Baumgartner Dr. oec. publ., dipl. Steuerexperte

Aus der Rechtsprechung zur Mehrwertsteuer

15. November 2023
Ralf Imstepf Prof. Dr. iur., Rechtsanwalt, dipl. Steuerexperte, EMBA HSG
Roger Rohner Dr. iur., dipl. Steuerexperte, MAS FH in MWST

Diplomates et fonctionnaires internationaux en Suisse

15. November 2023
La Suisse compte de nombreux acteurs Internationaux sur son territoire, tels des ambassades et consulats qui permettent aux Etats étrangers d’être représentés, mais également des organisations internationales qui participent à la coopération interétatique dans de nombreux domaines d’actualité tel le climat, ou encore la santé. Afin de leur permettre de travailler en toute indépendance, la Suisse offer des privilèges, immunités et facilités à ces acteurs ainsi qu’aux membres de leur personnel et, dans une certaine mesure, leur famille. Dans ce contexte, ces membres du personnel et leur famille peuvent notamment se voir exemptés des règles nationales applicables en matière d’immigration mais également de fiscalité. La présente contribution a ainsi pour objectif de détailler ces exemptions au travers de questions choisies. Die Schweiz beherbergt eine grosse Zahl internationaler Akteure, darunter die Botschaften und Konsulate, durch welche ausländische Staaten vertreten sind. Hinzu kommen zahlreiche internationale Organisationen, die an der zwischenstaatlichen Zusammenarbeit in Bereichen wie Klima oder Gesundheit beteiligt sind. Damit diese internationalen Akteure unabhängig arbeiten können, bietet die Schweiz ihnen, ihren Mitarbeitenden und bis zu einem gewissen Grad auch deren Familien Vorrechte, Immunitäten und Erleichterungen in gewissen Bereichen. In diesem Zusammenhang können die Mitarbeitenden und deren Familien insbesondere von den geltenden ausländer- und steuerrechtlichen Vorschriften ausgenommen sein. Der vorliegende Beitrag erläutert diese Ausnahmen anhand ausgewählter Fragestellungen näher.
Laure Baumann LL.M., CAS Droit des migrations
Rébecca Dorasamy LL.M., Exp. fisc. dipl.

Rechtsprechung im Steuerrecht 2023/4

15. November 2023
Andrea Opel Prof. Dr. iur.
Stefan Oesterhelt LL.M., Rechtsanwalt, dipl. Steuerexperte

Der steuerfreie Kapitalgewinn

15. August 2023
Der steuerfreie Kapitalgewinn nach Art. 16 Abs. 3 DBG hat eine bewegte Geschichte. Die Debatten um den Anwendungsbereich des steuerfreien Kapitalgewinns waren und sind weiterhin intensiv und emotional aufgeladen. Der vorliegende Beitrag dient dazu, zu zeigen, ob und in welchen Fällen es den steuerfreien Kapitalgewinn noch gibt. Ein besonderer Fokus liegt auf konzeptionellen Unterschieden bei der Definition des Kapitalgewinns in einzelnen Abgrenzungsfragen. Le gain en capital exonéré d’impôt selon l’art. 16 al. 3 LIFD a une histoire mouvementée. Les débats sur le champ d’application du gain en capital exonéré d’impôt ont été et restent intenses et chargés d’émotion. Le present article a pour but de montrer si et dans quels cas le gain en capital exonéré existe encore. Un accent particulier est mis sur les différences conceptuelles dans la définition du gain en capital dans certaines problématiques de delimitation.
Prof. Dr. Peter Hongler Prof. Dr., dipl. Steuerexperte,
Josiane Weder M. A. in Law and Economics
Ivo Graf Mitarbeiter ILE-HSG

Von Vermittlern und Eigeninteressen

15. August 2023
Die Vermittlung im Finanzbereich (Art. 21 Abs. 2 Ziff. 19 lit. a – e MWSTG) besitzt eine erhebliche Bedeutung in der Praxis. Diese Ausnahme von der Mehrwertsteuer ist sowohl für «traditionelle» Geschäftsmodelle wie diejenigen von Investmentbanken und Kreditvermittlern als auch für junge Konzepte wie Crowdfunding-Plattformen zentral. Gleichzeitig haben wenige andere Gebiete im Mehrwertsteuerrecht derart gute Voraussetzungen für ein champ de bataille zwischen Steuerpflichtigen und Steuerbehörden. Im Bereich der Vermittlung im Finanzbereich trifft ein naturgemäss tiefes Vorsteuerabzugsrecht beim Leistungsempfänger (insbesondere Banken und andere Kreditinstitute) mit immer zahlreicheren Zusammenarbeitsmodellen und damit einhergehender ausgelagerter Wertschöpfung zusammen. Je nachdem, ob der Ort der Vermittlungsleistung im Inland oder im Ausland liegt, sind die Positionen zwischen Steuerpflichtigen und Steuerbehörden unterschiedlich verteilt. Weiter sind die Interessen zwischen Erbringer und Empfänger der Vermittlungsleistung in Abhängigkeit von der zivilrechtlichen Abmachung über die Überwälzung der Mehrwertsteuer im Einzelfall unterschiedlich gelagert. Der vorliegende Beitrag diskutiert den Vermittlungsbegriff im Finanzbereich (Art. 21 Abs. 2 Ziff. 19 lit. a – e MWSTG) mit einem Fokus auf das Kriterium des «fehlenden Eigeninteresses» des Vermittlers am Inhalt des vermittelten Rechtsgeschäfts. L’intermédiation dans le domaine financier (art. 21, al. 2, ch. 19, let. a – e LTVA) revêt une importance considérable dans la pratique. Cette exception à la TVA est centrale aussi bien pour les modèles commerciaux «traditionnels » comme ceux des banques d’investissement et des courtiers en crédit que pour des concepts récents tels que les plateformes de crowdfunding. En même temps, peu d’autres domaines du droit de la TVA présentent des conditions aussi favorables à l’affrontement entre contribuables et autorités fiscales. Dans le domaine de l’intermédiation financière, un droit à la déduction de l’impôt préalable naturellement bas chez le bénéficiaire de la prestation (en particulier les banques et autres établissements de crédit) se combine avec des modèles de collaboration de plus en plus nombreux et la creation de valeur externalisée qui en découle. Selon que le lieu de la prestation d’intermédiation se situe en Suisse ou à l’étranger, les positions du contribuable et de l’autorité fiscal s’avèrent différentes. En outre, les intérêts du fournisseur et du destinataire de la prestation d’intermédiation sont différents selon l’accord de droit civil sur la répercussion de la TVA dans le cas d’espèce. Le présent article traite de la notion d’intermédiation dans le domaine financier (art. 21 al. 2 ch. 19 let. a – e LTVA) en se concentrant sur le critère de «l’absence d’intérêt propre» de l’intermédiaire au contenu de la transaction qui fait l’objet d’une intermédiation.
Benno Suter dipl. Steuerexperte, M.B.L. HSG
Marc Vogelsang Dr. iur.